Dieu? Le plus grand scientifique!

||  Accueil  ||  L'auteur  ||  Contact  ||  



Les trois Adams.

  

*Témoignages*

Liste des résumés des témoignages >>>

François Bernot

Ingénieur Supélec et Docteur en sciences
(Propos recueillis par Paul Ohlott, Journaliste)


François Bernot est professeur à l'Université de Tours. Il est docteur en sciences pour l'ingénieur, de l'Université de Besançon. Son champ d'études a concerné la physique théorique, l'électronique et l'électrotechnique.

Au travers de cette interview, il présente la sortie de son premier ouvrage : « Bible ou science : Ma quête de la vérité ».

Il s'exprime sur son parcours qui l'a conduit à Jésus-Christ. Il partage sa pensée, sans langue de bois, sur divers sujets : la distinction entre Science et sciences, le Créationnisme, la prédestination, la valeur de la Bible, les manifestations spirituelles, le code de la Bible...


1 – "Si Jésus-Christ ne s'était pas mis en travers de ma vie, je serais devenu fou !"

Paul Ohlott - Vous avez fait de longues études scientifiques... Trop, selon vous? Comment êtes-vous passé des raisonnements scientifiques à la foi en Jésus-Christ?

François Bernot - Il faut savoir qu'il n'y a aucun honneur à rester très longtemps à l'école (12 années après le bac). Une fois un diplôme d'ingénieur acquis, la sélection a été effectuée, et la vie poursuit un cours normal. Les doctorats s'empilent, comme une suite logique d'une vie de réflexion qui ne fait que commencer... Dans mon livre, je parle d'un trop-plein d'études, parce que si Jésus-Christ ne s'était pas mis en travers de ma vie, je serais devenu fou!

La science conduit en effet à une remise en cause permanente, et surtout à une insatisfaction chronique. Dans mon métier, on est la plupart du temps face à des équations anonymes, des concepts, ou encore des problèmes pratiques, qui s'énoncent tous très simplement. Plus ils sont simples à écrire, plus ils sont complexes à résoudre ! On s'en fait une montagne, on se réveille la nuit pour écrire sur un calepin, puis enfin on trouve une solution. Elle est souvent belle, empreinte de poésie, on admire sa richesse, puis on déprime immédiatement, en se disant que ce n'était pas si difficile que cela. Alors on tombe dans ce comportement binaire : « impossible ou évident ».

Mais cette démarche peut conduire à la foi ; car on comprend mieux le monde, on comprend les mensonges officiels, on remet tout en cause, et si on est lucide, on ouvre une Bible, un coran, un livre sacré hindou ou je ne sais quoi...pour répondre à nos pourquoi...Mais tant qu'on ne s'est pas mis à genoux devant Dieu, on ne comprend pas quelle boîte choisir, dans le supermarché des religions. On sait au fond de nous-mêmes que l'éternité existe, puisqu'on en saisit une part infime dans nos raisonnements, dans notre observation du ciel ou de l'infiniment petit - mais on ne sait pas où la trouver. Si mes beaux-parents ne m'avaient pas présenté durant des mois à Papa Dieu, jamais je n'aurais plié le genou devant Lui !

P. O. - La conversion à Jésus-Christ vous a-t-elle libéré d'un "conditionnement à la réflexion" que vous subissiez depuis longtemps?

F. B. - Vous savez, moi, je ne sais que remettre tout en doute, je veux comprendre, je ne sais pas être autrement que cartésien. Mon premier réflexe de jeune chrétien a été de lire la Bible en entier, pour y trouver une erreur, oui pour chercher l'erreur! Je n'en n'ai pas trouvé, et si cela avait été le cas, je n'aurais pas jeté le Livre, mais j'aurais demandé à Dieu de m'expliquer pourquoi ce que je lisais ne collait pas avec mon savoir. Dans ma vie de chrétien, j'ai par exemple cherché à comprendre l'interaction entre prières, actions et pensées. J'ai cherché à comprendre comment me comporter en situations difficiles. J'ai analysé les conséquences de mes actes sur mon environnement...En fait, Il m'aura fallu de longues années pour vivre enfin l'épreuve du dépouillement total que j'ai vécu il y a quatre ans (comme Job l'avait subie), pour apprendre à me comporter comme un enfant face à son Papa Dieu, pour apprendre à Lui dire : « Me voici, prends-moi la main jour après jour ; Toi tu penses, et moi, cette fois, je capitule ».

P. O. - Pour vous, il y a désormais Science et sciences?

F. B. - Il y a deux sciences : celle des journalistes, la plupart du temps incultes en sciences... Et la vraie, celle de ceux qui la vivent. Il y a bien quelques extra-terrestres, comme Hubert Reeves, qui tentent de vendre du rêve oriental au travers de leur réflexion. Mais la plupart des scientifiques déconnectent très bien science et dogme, même dans les domaines du vivant. Il est d'ailleurs fort regrettable que les scientifiques chrétiens ne s'expriment pas davantage.


2 – "Dieu est vivant, viens le rencontrer, toute la science t'y conduit"

P. O. - La science a, selon vous, dépassé la raison et arboré des attitudes sectaires, en voulant inculquer sa vérité comme absolue, par le biais des incessants "La science a dit que..."?

F. B. - "La science a dit que", ce sont les journalistes qui le disent. Les vrais scientifiques disent toujours "peut-être", "sans doute". Quand je pense que durant 15 ans j'ai enseigné un théorème aussi faux que 2+2=5, sans jamais m'en rendre compte... Il m'aura fallu achever ma deuxième thèse pour le comprendre ! Mon orgueil en avait alors pris un bon coup.

Ce que je reproche à la mouvance créationniste, c'est de vouloir démontrer Dieu, de tomber dans le panneau des autres scientifiques athées ou orientalistes. Ceci est une vraie attitude sectaire. On veut imposer une vérité biblique, dont on ne peut pas mesurer la portée. La science reste un doute, tandis que la foi en Jésus-Christ est une rencontre. Je n'étais pas présent le jour où mon papa a fécondé ma maman, je n'ai eu conscience d'être leur fils que plusieurs années plus tard, pourtant je le crois fermement. Alors j'ai le droit de dire :« Ma vie a changé le jour où j'ai rencontré mon Papa Dieu ; c'est alors que j'ai éprouvé une vraie rencontre physique, car le Saint Esprit a plongé ce jour là au fond de mon être, pour y faire ressortir la crasse de toute mon amertume ». Je ne veux inculquer aucune vérité, je veux seulement crier sur les toits : « Dieu est vivant, viens le rencontrer, et même toute la science t'y conduit. »

P. O. - Vous écrivez que certains commettent l'erreur de comparer Dieu à un "ordinateur dont le disque dur contiendrait par avance toutes nos bévues, tous nos bonheurs...". Que vous inspire le thème de la prédestination?

F. B. - La prédestination est le seul chapitre de mon livre où je ne propose rien ou presque, où je ne fais que tuer des théories nauséabondes. Je me suis retranché derrière une attitude de fuite, de refus de comprendre, car toutes mes réflexions m'ont trop fait pencher vers le gouffre des imbécillités du moment : trous noirs, ponts spatio-temporels... Je reste à ce sujet pragmatique. On ne pourra pas de sitôt réaliser d'accélérateur de particules satellisé autour de la lune, pour valider nos équations et nos théories... Alors notre niveau de validation s'arrêtera toujours aux années 1950, en physique théorique. L'essentiel de ce qui suit reste du modèle, de la prédiction spéculative, qui interdit de penser de façon saine à la constitution de l'au-delà de la limite de l'univers. Donc je regarde le temps comme un boulet cloué à mes pieds, que je traîne, avec un Papa Dieu qui me soulage en le portant de temps en temps (!) ; mais surtout, avec un papa Dieu têtu, très têtu, car il a un plan génial pour ma vie. Son seul but est de me ramener en permanence sur le chemin qu'il a prévu pour moi. On pourrait dire qu'à chaque carrefour, j'ai le choix entre sucré et salé. Sachant que je suis gourmand, Dieu sait que j'irai toujours vers le sucré, c'est cela la prédestination à mon sens. Si je goûte au salé, il me laissera le faire jusqu'à l'écœurement, puis lorsque je le supplierai, il me ramènera dans le droit chemin. J'ai trop vécu des situations de ce genre, pour m'étonner de la puissance des prières (même très courtes), du style : « Papa Dieu, au secours, remontre-moi ton chemin ! »...


3 – "La Bible pourra toujours se corréler avec les découvertes scientifiques récentes"

P. O. - Selon-vous, aucune découverte scientifique n'entache à la valeur de la Bible? Plus encore, la Bible permet, d'après vos dires, de mieux comprendre les théories scientifiques?

F. B. - Je vais vous dire ma conviction la plus profonde. J'ai l'intime conviction que la terre a 6000 ans, que l'univers a été créé en 6 jours, que le système solaire est un jardin d'Eden créé pour nous humains, afin que Papa Dieu nous y chouchoute...

Que fera-t-on dans cent ans de la relativité du temps? Je pense qu'au fur et à mesure qu'on avance, notre espace de perception s'élargit. Nos arrière-grands-parents n'avaient guère que leurs yeux pour regarder le ciel, même avec quelques télescopes. Ils ne pouvaient pas percevoir l'infiniment petit, ni l'infiniment grand, comme nous le faisons maintenant. Aussi, ils se contentaient d'une interprétation littérale de la Bible.

Il est étonnant que Darwin ait publié sa théorie à l'époque de la découverte de la relativité, puisque cette dernière arrivait déjà dans les esprits. Pourtant un observateur attentif aurait très bien pu établir la théorie de Darwin au temps de Marco Polo. Donc Dieu a laissé émerger simultanément une théorie souvent malsaine (celle de Darwin), car utilisée pour tuer la Bible, avec une autre plus bénéfique (celle d'Einstein) celle du temps relatif. Je pense qu'on est face à un Dieu d'amour, qui ne veut pas nous égarer, même s'il paraît être un peu lointain pour certains.

Je pense que la Bible pourra toujours se corréler avec les découvertes scientifiques récentes. Celles du moment s'y prêtent fort bien. Celles du siècle passé y trouvaient le même niveau de cohérence. Les théories scientifiques les plus poussées creusent au fond même des limites de notre perception. Elles sont de plus en plus invérifiables. Comme la Bible est le seul journal de bord qui soit resté fidèle depuis le commencement, il est rassurant de s'y raccrocher, non pas comme à une bouée de sauvetage, mais comme à un fil conducteur qui permet de contrôler nos pensées avec celles de Dieu.

P. O. - Beaucoup de scientifiques n'ont pas, selon vous, pour mission première de chercher la vérité, mais du fait de leur athéisme, elles espèrent –mais vainement– démontrer l'inutilité de Dieu?

F. B. - Je serais très méchant, en mettant au même niveau certains créationnistes et certains athées. Car les premiers oublient volontairement certains faits avérés, démontrés par la science. Par exemple, la formation des falaises de calcaire mentionnées dans mon livre, tue la théorie de la création de l'univers en 6 jours, sauf par une intervention divine miraculeuse. Mais d'autre part, les trous dans l'évolution des espèces, la constitution de l'ADN, le manque d'informations dans les cellules reproductrices (il n'y a pas assez d'information dans un ovule et dans un spermatozoïde pour former un homme)... tout cela tue la théorie de l'évolution ! Je suis prêt à accepter une théorie, même celle de Darwin, à la seule condition, qu'elle reste labellisée théorie, c'est à dire : « un faux dans quelques années » !

J'ai clairement dit dans le livre que je serais très content qu'on me démontre que la terre ait été créée en un seul jour, mais que je suis obligé pour y parvenir à ce jour d'introduire la relativité du temps. Il y a autant d'hypocrisie à démontrer que Dieu n'existe pas, qu'à démontrer qu'il existe. Ceci revient à construire une tour de Babel, et on sait ce que Dieu en a fait. J'ai vu des gens face à des miracles, j'ai raconté ma relation avec Jésus-Christ à beaucoup de monde, ce n'est que la rencontre avec Dieu en personne, qui ouvre les portes de la vérité, le témoignage d'une vie transformée, et rien d'autre. Je reste émerveillé des réactions de certains lecteurs incrédules de mon livre, qui m'ont dit : ‘'François, les premiers chapitres étaient intéressants, mais rien à voir avec les deux derniers qui m'ont vraiment interpellé''. Il s'agit de mon témoignage et de la présentation de l'Évangile crue, au sens de Mel Gibson. Il n'y a plus de science dans ces derniers chapitres. Comme quoi, c'est une rencontre personnelle que Dieu nous suggère.

P. O. - Faut-il chercher à réconcilier la Bible et la science? Cette réconciliation vous paraît-elle cohérente?

F. B. - La Bible nous propose une démarche expérimentale (comme la science) : Dieu accepte qu'on le mette à l'épreuve, pas qu'on le tente, mais qu'on le cherche. Dieu accepte les paris, mais pas ceux du style : « Je me jette du pont et tu viens me chercher en l'air ». Non, Dieu accepte les paris du style : « Je te donne toute ma vie, et c'est Toi seul qui assure toute l'intendance, pas le pasteur, mais toi mon Papa Dieu ». Et la science fonctionne bien de la même façon : on a une idée, on la teste, on la chouchoute, elle nous encombre l'esprit... ; puis, arrivé au sommet de la montagne, on se repose et on repart à l'assaut de la montagne d'en face. Si on s'est trompé, on redescend, et on repart vers un autre sommet. Dieu et la science agissent bien parallèlement.


4 – "Si on la retrouvait cette Arche de Noé, datée au Carbone, elle n'émouvrait pas plus la population sceptique et incrédule que les miracles de Jésus-Christ vécus il y a deux mille ans."

P. O. - L'hypothèse de la présence de l'Arche de Noé sur le mont Ararat, est-elle pour vous l'un des dossiers que la science devrait prendre au sérieux?

F. B. - Oui, mais l'imbécillité ou l'orgueil humain sont trop forts pour le faire. C'est vraiment lamentable. Je suis prêt à y aller, soit en me disant que si je ne trouve rien, c'est encore bien caché, soit que cela s'est passé autre part. Mais la montagne de sel de Sodome, qui elle est là comme trace bien visible de l'intervention divine, ne soulève elle pas beaucoup d'interrogations... Alors, je me dis que si on la retrouvait cette Arche, même bien datée au Carbone 14, elle n'émouvrait pas plus la population sceptique actuelle que les miracles de Jésus-Christ, vécus il y a deux mille ans !


5 – "On est arrivé à remonter à une protolangue commune, d'où découleraient toutes les autres."

P. O. - Dans votre ouvrage, vous évoquez le fait que les recherches en linguistique auraient démontré l'existence d'une protolangue initiale commune : "La langue du ciel". Pouvez-vous détailler cette affirmation?

F. B. - Je ne suis pas linguiste, aussi je me contenterais de citer des sources recoupées. Les études menées ont porté sur les objets ou personnes les plus courants dans la vie, tels que : eau, main, ciel, terre, papa, maman... en partant des diverses expressions orales actuelles, bien connues, de ces mots. En intégrant les évolutions possibles dans leur diction, on est arrivé à remonter à une protolangue commune, d'où pourraient découler toutes les autres. Ce que j'avais vu moi-même sur le mot « eau », par exemple, était vraiment très troublant : la racine y était même évidente dans de nombreuses langues, avec quelques explications complémentaires naturellement... S'agissait-il alors, avant Babel, de la langue du ciel de l'origine... ?

P. O. - Lorsque l'on est un scientifique cartésien et pragmatique comme vous, est-il aisé d'accepter les manifestations divines?

F. B. - La Bible présente un monde spirituel réel. On n'a pas connaissance de sa constitution, mais on sait que Dieu est là. La manifestation divine la plus évidente, c'est la repentance. Cela marche à tous les coups. Je ne connais personne qui ne se soit placé devant Dieu en toute sincérité, qui n'aurait pas reçu cette réponse de Lui : "OK boy, mais je mets tous tes péchés de côté »... Le numéro de téléphone de Papa Dieu lui, n'a jamais sonné absent ou occupé, pour quelqu'un qui se repend et qui l'appelle!

Je discutais il y a quelques temps avec un psychiatre, à qui je mettais en parallèle toutes les manifestations pathologiques de ses clients avec la démonologie décrite dans la Bible qui est liée à l'emprise du péché. La cohérence était totale. Pour ce qui concerne les miracles, la réponse est très simple : les médicaments agissent selon les cas entre 10 % et 90 %, par l'effet placebo. Si la guérison divine consistait seulement à exciter cet effet placebo, cela me conviendrait bien. Pour les miracles forts, on sait que les cellules embryonnaires sont totipotentes, c'est à dire qu'elles peuvent conduire en se divisant à produire soit un muscle, soit un os, soit un œil...etc. Donc, pourquoi le Dieu qui les a créées, n'en n'aurait-il pas en réserve quelques unes ? Il n'y a aucun obstacle à accepter les manifestations divines, à partir du moment où le Saint Esprit nous a visité en profondeur. Tout chrétien peut agir par la prière, tout chrétien peut se rendre compte qu'en présentant une rancoeur à Dieu en prière, il s'en trouvera dégagé. Le champ expérimental est infini, si nous comprenons les choses ainsi ; c'est d'ailleurs bien à cette expérience-là que Dieu veut nous conduire.


6 – "On fera de la Bible un livre à la Nostradamus, ce qui conduira à un désastre."

P. O. - Notamment avec l'histoire du "Code de la Bible", est-il possible d'utiliser abusivement la Bible au nom de la science?

F. B. - Oui, j'ai très peur et je n'ai pas trop voulu en parler dans mon livre, mais on saura bientôt (quelques années) prédire efficacement l'avenir avec le code de la Bible. Ou plutôt, on saura prévoir des scénarios, et les recaler sur le cours des événements en temps réel. Le grand danger en ce sens réside dans la crédulité humaine, car on fera de la Bible un livre à la Nostradamus, ce qui conduira à un désastre. Car évidemment on se trompera beaucoup, et on trichera pour dire vous voyez, c'était écrit (mais je ne vous présente pas les autres solutions fausses).

J'encourage les chrétiens à se dissocier totalement de ces travaux, qui m'avaient en leur temps séduit. Il faut savoir que les méthodes de détection de signature sont très simples. Elles utilisent des fonctions mathématiques abordables à tout ingénieur. Ce sont ces méthodes qui seront utilisées dans la prédiction de l'avenir avec une Bible. C'est un de mes métiers, j'y avais pensé, pour finalement y renoncer, car il serait trop dangereux...

Se contenter de constater qu'une Bible mentionne les noms des acteurs de l'histoire n'est pas gênant en soit. Ce qui serait très grave, consisterait à y chercher par exemple le nom du prochain roi du royaume d'Israël, celui de l'Antéchrist... En trichant de la sorte (ce qui revient à consulter les étoiles), on oublie de consulter l'Eternel qui nous a laissé la Bible, comme un témoignage des bêtises et des succès de nos aïeux. Mais le monde, toujours à l'affût de ce qui scintille, assurerait hélas naturellement son succès !

(Source : TopInfo - Avec la permission de M. Bernot

- FIN -

|| Accueil || L'Auteur ||
|| Question du mois || Publications || Résumés de livres || Témoignages ||
|| Genèse ET Science || Initiatives || Proche-Orient || Club Science-Foi || Liens ||

Tous droits réservés © Philippe Gold-Aubert (1998-2009)
Design et conception - Natmark-Concept inc.