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Les trois Adams.

  

*Gagnières*

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*Historique
 
Centre Chrétien de Gagnières (1970-1975)
 
* Depuis de nombreuses années, des chrétiens de divers milieux étaient désireux de témoigner de leur foi pendant leurs vacances. C'est ainsi que des actions diverses furent entreprises en Belgique, en France et en Suisse, dans les années 60, par exemple dans des campings par divers groupes de chrétiens engagés, en particulier par des hommes d'affaires chrétiens du mouvement ACTE (Association de Chrétiens Témoins dans leurs Entreprises), mouvement existant dans divers pays francophones et germanophones (IVCG). Le succès réel de leur témoignage fit qu'une idée germa chez plusieurs : créer un Camping chrétien, où toute l'année on pourrait apporter l'Évangile à des vacanciers, souvent sans but, et qui parfois s'ennuient dans leur désœuvrement. Nous avons partagé cette vision à plusieurs.
 
C'est alors que l'un d'entre nous, cadre de banque du groupe ACTE de Valence, Jean Gravier, découvrait cette propriété de Gagnières dans le Gard. Il vint à Genève pour en parler avec Philippe Gold-Aubert, alors président international de l'ACTE. En effet, un homme d'affaires seul ne pouvait faire l'achat de cette grande propriété de 19 hectares, d'autres vinrent à la rescousse, et c'est ainsi qu'à quelques-uns nous créâmes le 17 avril 1971 la SCI "LE MARTINET". La SCI acquit cette magnifique propriété devenue, par l'abandon de la famille de son propriétaire décédé, des ruines dans une jungle.
 
Mais déjà, avant l'acquisition officielle, dès l'été '69, et toute l'année 1970, vraiment par la foi, des jeunes du Midi et des Suisses de l'Église Évangélique Libre des Buis à Genève, comme Charles Wolf, Étienne Zbinden, Lucienne et Carlos Gallopin, Jean Blanc, etc. etc., se mirent à nettoyer les alentours de la maison pour la rendre accessible, car les ronces avaient poussé partout, et jusque contre la maison principale. Dès l'acquisition de la propriété, et rapidement de par la diffusion de l'ACTE, de nombreux amis sont alors venus de partout, et de divers groupes d'Églises évangéliques et pentecôtistes, du Midi, d'Alsace, de Suisse et d'ailleurs, pour défricher ce territoire, par petits bouts de week-ends ou de vacances. Ce fut un vrai travail collectif, fruit du dévouement gratuit de chacun.
 
Bientôt les premiers "équipiers" ont pu venir habiter la vieille maison, achetée aux héritiers de l'ex-médecin de l'endroit, mais ils y vécurent (heureusement en belle saison) dans des conditions vraiment très primitives. C'étaient Denise et sa sœur Yvette, avec son petit Pascalou, tous avec leur accent savoureux du Midi, Bernard, l'artisan a tout faire, puis Jean et Odette, et bien d'autres. Les ronces et les acacias envahissants, les arrachages des vieilles souches avec Léo et Philippe et le petit Benjamin, la sueur et la peine de tous, permettaient bientôt le camping sauvage sur de plus grands espaces, autour de la maison, dès ce premier printemps officiel de 1971. Tout se passait en chantant, et dans une ambiance fraternelle, avec beaucoup de réunions et de prières, qui accompagnaient dès le début le travail matériel.
 
Puis on put commencer les réparations essentielles de l'aile droite; enfin, l'installation d'un chauffage central avec Victor et Didier, et le jardin défriché, apportaient à la maison le minimum vital pour l'hivernage d'une équipe, et des visiteurs de plus en plus intéressés par des sessions ou des week-ends spirituels.
 
Durant l'été 1971, des Suisses venaient nombreux, donnant de sérieux coups de mains, et les deux "Jeûnes Genevois" de '71 et '72 furent l'occasion d'un travail volontaire, dont tous les participants - comme des bagnards - se souviendront! Les Louerat se sont installés au Centre dès le 1er janvier 1972, pour mener les travaux, tandis que Bernard (qui a épousé Mireille, l'assistante sociale...) quitte le Centre, et ils vont s'installer dans la région.
 
L'embryon de Centre devient vite trop petit pour les week-ends et les nombreuses retraites spirituelles qui commencent à Pâques, continuent au 1er mai, à l'Ascension, à Pentecôte, et se généralisent par l'activité incessante des deux mois de l'été. Souvent, on baptise les nouveaux convertis dans la Ganière (rivière qui traverse notre propriété sur 1 km environ). Ces nouveaux croyants décidés commencent un travail missionnaire merveilleux par leur témoignage qui va donner au Centre une impulsion considérable. La confrérie joyeuse chante beaucoup, et ces cantiques vivants se répandent dans bien des églises par les nouveaux convertis.
 
Lorsque la pinède du haut fut débroussaillée, on mit en évidence l'ancien tennis du docteur! Cela fera un merveilleux terrain de jeux, et - parfois - de camping. Mais l'installation du vrai terrain de camping (autorisé) nous préoccupe de plus en plus. Philippe Gold et quelques Alsaciens, dont les Berninger et le Dentiste (!) ont passé leur été '72 à tailler à travers ronces et acacias, des tranchées de visées jusqu'aux confins de la propriété, pour que le géomètre puisse, avec 35 points de piquetage, arpenter tout le territoire de la plaine de la Ganière.


* Cet été-là, les Pèlerins de Montbéliard nous ont rendu visite et ont été eux-mêmes enrichis par les messages bibliques du jeune pasteur luthérien Henri Hartnagel. De plus, ils ont sillonné la contrée. Que de traités et de témoignages répandus !
 
Philippe Gold-Aubert, durant le mois d'août, apportait aux estivants une étude sur l'histoire de l'Église, des origines à la Réforme. M. Menpiot, lui, nous instruisait par une étude fouillée sur les Actes des Apôtres. On campait comme on pouvait, et on logeait du monde partout dans la Maison et même dans la ferme branlante; jusqu'à 250 personnes... Et notre petite cuisine, tant bien que mal, servait 40-80 repas en Juillet, et 80-120 par jour en août, sous l'experte direction de Simone Gold-Aubert, ou d'Odette Gravier... avec les Klättli d'Alsace et les Suzwalak.
 
Tout cela ne va pas sans peine, et durant l'automne l'Association "Le Centre chrétien de Gagnières" cherche encore sa voie. Notre architecte, Michel Décosterd de Genève, a fort à faire. Il nous établit un magnifique plan du Camping durant l'hiver '72-,73; ce sera un Camping 2 étoiles, accessible à tous. Mais on reste en divergences quant à la Ferme : soit la raser, soit la réparer, mais comment? Dans la Maison, on a maintenant créé de jolies chambres au 2e étage (dans les combles), avec l'eau courante et le chauffage central, ce qui est bien commode pour les Retraites fraîches de l'automne et du printemps, ou le froid glacial de l'hiver dans les hautes Cévennes.
 
La Retraite du Nouvel An 1973 fut assurée par MM. Kreitmann et Gold. Du 9-18 mars, c'est l'Équipe de Jean-Louis Jayet qui est au travail au Centre. A Pâques, nous avons fait venir pour la première fois Thomas Roberts, qui nous apporte ses messages joyeux et généreux. Le 1er mai, c'est Louis Pont de "La Porte Ouverte"; à la retraite de l'Ascension, c'est Philippe Gold, et à Pentecôte M. Menpiot... Durant l'été, ce sera un Camp choral, un 2e Camp de guitares, tandis qu'une équipe de Jeunesse en Mission viendra nous aider, qui à construire, qui à témoigner... Thomas Roberts nous assure une première série de réunions du 16 au 31 juillet, tandis que Philippe Gold (décidément en vacances ici!) assure tout le mois d'août.
 
Au début de l'été, l'équipe s'est agrandie par l'arrivée de Jean et Odette Gravier, maintenant établis à demeure au Centre, tandis qu'André et Idelette Louerat nous quittent, après avoir donné le meilleur d'eux-mêmes pour rebâtir et équiper toute l'aile droite de la Maison. M. Lebeau, lui, a assuré toute la partie jardin, avec beaucoup de courage et de compétence. Il ne faut pas oublier tous ceux qui nous aident par l'envoi de fruits et de légumes venant de la vallée du Rhône, ils le feront gratuitement et pendant toutes ces années, ce sont nos fidèles amis, les Patte, les Fauriel, et d'autres...
 
L'automne et l'hiver '73-'74 verront des week-ends nombreux avec Jean-Louis Jayet, les pasteurs Bechdolf, Thomas Roberts et Hartnagel, Philippe Gold-Aubert, M. Menpiot, etc. etc., sur divers sujets, et selon les charismes de chacun. Pour le printemps '74 de grandes choses sont prévues, qui vont amener de grands bouleversements au Centre. La première Convention charismatique du printemps (du 28 mars au 2 avril) sera présidée par Thomas Roberts, ainsi que la rencontre Spécial Jeunes du 29 août au 5 septembre 1974, avec Henri Hartnagel. Des bulletins spéciaux d'inscriptions à toutes nos retraites et activités sont institués et adressés largement en France, en Suisse et en Belgique.
 
C'est alors que commence l'ouverture avec les Catholiques. On est en plein Renouveau, et toutes les barrières dénominationnelIes tendent à s'effacer. L'abbé Peitavin vient de faire dans son église de Gagnières l'expérience du baptême du Saint-Esprit; et bien d'autres après lui, ecclésiastiques ou non, vont faire parmi nous la même expérience. Et c'est ainsi que, par le Saint-Esprit, sont manifestés parmi nous en abondance, les dons de prophétie, de guérison et de délivrance. "A la Convention de printemps, nous vécûmes alors à Pâques une vraie Pentecôte" (comme l'a dit Simone Rafinesque...), avec 250-300 participants, en majorité des jeunes gens. Le curé de Gagnières, Raymond Peitavin, autorisé par l'Évêque de Nîmes, nous a largement ouvert (et chauffé!) son église : il y faisait plus chaud que sous les tentes!
 
Pendant ce temps, les travaux ont continué, avec l'Équipe de Samarie, qui vient de débuter son activité parmi nous, sous l'experte direction de Lucien Histace de Toulouse. Quelle joie et quelles découvertes spirituelles au cours de ces camps de travail, pour ces étudiants universitaires. L'Équipe en place se souviendra toujours lorsque cette vingtaine de jeunes gens et jeunes filles furent baptisés d'eau dans le grand bassin rond devant la maison (qui est devenu ensuite un bac à sable pour les petits enfants...). Mais avec toute cette invasion joyeuse, l'Équipe a toujours plus de travail, et se trouve souvent à bout de force en été, et elle a bien besoin de l'aide généreuse de nombreux estivants de passage, qui eux aussi, consacrent ainsi tout leur temps de "vacances" au Seigneur.
 
Au début d'août, c'est le 2e Camp choral, présidé par Jean-Claude North de Lille et Georges Erwein de Mullhouse, avec leurs fidèles compagnes. L'Équipe s'est agrandie avec la venue de Philippe et Valérie Delord, puis de Jean-Pierre et Paulette Pain qui, avec leurs nombreux enfants s'installent au Centre. Jean-Pierre devient le chef des travaux, et Françoise Carénas devient la secrétaire attitrée... C'est alors qu'enfin, nous recevons l'autorisation du service de santé pour commencer les travaux d'assainissement du Camping (!), et nous pouvons de suite nous attaquer à la construction du premier bloc sanitaire. M. Charrel de Chalencon peut s'en donner à cœur joie, et ce vieux maçon si actif, fatigue même les jeunes qui veulent l'aider!


* A Pentecôte, ce sont Jean Gravier et Paul Zbinden qui apportent des messages bénis sur le baptême du Saint-Esprit, tandis qu'une équipe de Jeunesse en Mission présente son film merveilleux intitulé : "Révolution d'amour à Munich".
 
Et voici bien sûr le clou de cette année 1974 : c'est la Convention spécial Jeunes du 29 juillet au 5 septembre, dont le Rallye du début août, sous la direction de Thomas Roberts. Cultes au Centre à 7h30, messes simultanées à l'Église du village, puis réunions oecuméniques et charismatiques "tous ensemble" sous les grandes tentes louées, dans la vraie liberté du Saint-Esprit. Les bénédictions reçues sont innombrables et indescriptibles. Que de témoignages et de messages merveilleux. Nous nous souvenons de Liliane d'Albi (délivrée du yoga), de Yoyo (le pasteur Croissant), de Jacky Parmentier prêtre), de Bernard Hillerau (homme d'affaire parisien), de Jean-Claude Chabloz (pasteur apostolique), de Pierre Salvert (prêtre), de Jean-Daniel Fischer (pasteur réforme) et de tant d'autres. Et des 500 participants sous une pluie battante - après une longue sécheresse - une pluie qui transforme le sol de notre double tente en marécage, mais que de grâces d'En-Haut! que de pluies de dons spirituels. Sous l'orage, nous nous rappellerons tous de cet après-midi où l'on tombait à genoux dans la boue, et où le Seigneur baptisait du Saint-Esprit une multitude de jeunes et de... moins jeunes. Certains attendaient cette bénédiction depuis 30 ans!
 
Un tel feu ne pouvait que se répandre partout, et ce fut en fait l'origine de bien des réveils spirituels, de démarrages d'églises nouvelles, de groupes de prières, en France, en Suisse, en Belgique, et ailleurs. Le jour et la nuit, on priait cet été-là, pour la délivrance des possédés, et des malheureux qui venaient d'on ne sait où, pour chercher la libération. Bernard, Philippe, Lucien, Brian et tant d'autres y passaient souvent des parties de la nuit : il y avait tant de besoins! Ce fut aussi pour beaucoup de serviteurs de Dieu, la redécouverte du combat spirituel, et nous dûmes ainsi à Gagnières assumer ce lourd ministère de délivrances, qui s'est continué d'ailleurs partout dans nos paroisses.
 
Bien sûr, une telle avalanche de bénédictions et de combats spirituels ont décroché quelque chose dans le monde des esprits. Les luttes de l'automne et de l'hiver '74-'75 furent terribles au Centre. Recevoir des marginaux est une chose, mais il aurait fallu une équipe qui ne soit pas affaiblie par le travail excessif, par le surmenage de l'été, et par les divisions. Durant cet hiver, il fallut nous séparer du couple Jean et Odette Gravier, qui étaient parmi les fondateurs du Centre. Ce fut un rude coup, sentimental et financier, car la SCI dût leur rembourser rapidement leurs parts, et toutes leurs dépenses.
 
Un nouveau Conseil a été nommé qui choisit comme président Jean-Claude Plantier de Paris, et pour vice-président Jean-Pierre Pain, le directeur technique du Centre. Philippe Gold-Aubert assumait dès lors la présidence de la SCI Le Martinet. Ainsi, le Centre pouvait continuer sur la même lancée spirituelle, mais avec une vision élargie, par une direction plus collégiale et interecclésiastique. La générosité des amis de partout nous permit de franchir l'année 1975, et de rembourser intégralement toutes les parts des fondateurs démissionnaires. L'Association "Centre chrétien de Gagnières" devenait ainsi, à fin 1975, la propriétaire de la majorité des parts, et se constituait en une société sans but lucratif dûment instituée. Yves Cornaz et Serge Durand vinrent compléter le nouveau Conseil (CA).
 
Par la grâce de Dieu, 1975 fut encore une année plus bénie que la précédente, et ce fut pour nous comme le soleil après l'orage, et comme une confirmation que le Seigneur voulait que cette Oeuvre continue pour sa seule gloire. Le sujet de la Retraite de printemps, suivi de la Convention charismatique fut "La marche dans l'Esprit" du 1er au 6 avril - "Je suis venu, afin que mes brebis aient la vie, et qu'elles soient dans l'abondance", a dit Jésus (Je 10:10). Et en effet, la vie nous a été donnée et fut multipliée! Les luttes et les combats spirituels ont continué derechef, et l'Église de Gagnières a été remplie par des multitudes tout l'été. L'Évêque de Nîmes fut aussi des nôtres, et les messagers furent tour à tour :
 
Thomas Roberts, Philippe Gold-Aubert, Jean-Claude Chabloz, les pasteurs Bechdolff et Schvartz et Hartnagel, et bien sûr, l'abbé Raymond Peitavin, le curé de Gagnières, devenu un évangéliste parlant en tous lieux.
 
Les retraites du printemps ont été présidées par les prédicateurs habituels du Centre, avec en plus Jean-Daniel Charpiot de Marseille (sur le problème de la Drogue) et Ildebert Exbrayat sur le thème de "Saul de Tarse, un casseur devenu Apôtre". Le 17 juin, naissance au Centre d'une petite Virginie Pain! Ca fait 7 petits Pain dans la maison! L'Équipe se forme et se stabilise peu à peu; un nouveau couple, Daniel et Colette Vautier est venu la compléter. Cette fois, ce sont des gens du Nord : une alliance Nord-Sud... et François Bruyère tient avec compétence la partie agricole. Même un gros mulet vient l'aider aux champs!
 
En cet été 1975, ce furent 4 camps et le Rallye des Jeunes qui ont rempli le temps. Et tout au début de l'été, la session de Teen-Challenge, mémorable par la conversion d'un groupe de jeunes gens longtemps rebelles, dont notre cher Yvan Gold, qui restera à Gagnières, en tant qu'Équipier du Centre durant plus d'un an, et où il se rendra très utile comme charpentier pour les constructions; nous découvrirons là aussi ses dons d'organisateur. Comme dans les bons romans, cela finira par un mariage à Gagnières, avec Anne-Rose Rollet, la fille de notre si actif compagnon d'ouvre, Benjamin Rollet. Ensuite, le Camp instrumental - puis le Camp d'évangélisation avec le Groupe Samarie et Georges Siguier. Enfin, le 3e Camp choral qui donna même une soirée à Die, à l'occasion de la présentation du Musée du Protestantisme Dauphinois.


* Enfin, le Rallye des Jeunes, cette fois-ci mieux situé (avant les grandes pluies de fin août-début septembre qui noient tout!). Près de 800 personnes ont pu entendre parler de Jésus qui sauve, qui libère et qui guérit. Pour recevoir cette foule, il fallut un groupe bien organisé de 60 personnes pour assumer les travaux pratiques. Chaque secteur eut ainsi ses responsables, tous à leur place... Un service de cassettes permet désormais de suivre et de répandre les merveilles reçues durant nos rencontres. Une cinquantaine de responsables spirituels protestants, évangéliques ou catholiques furent choisis et les "macarons rouges" purent agir dans une remarquable unité, malgré la diversité incroyable des origines de leurs porteurs. La participation aux carrefours, lieux d'échanges et d'approfondissement sur divers sujets importants, fut aussi très positive.
 
Tout ce qui a été semé, ébauché, commencé à Gagnières cet été là, va trouver ainsi son prolongement dans la vie de chaque jour, de chaque paroisse, de chaque assemblée ou de chaque groupe de maison. Les chants vont se répandre, les convertis porter leurs fruits... parfois les rechutes sont douloureuses aussi, mais on revient, et après 2 ou 3 camps, retraites ou rallyes, la délivrance complète est là. Que partout se forment des cellules de prière et ce merveilleux travail du Saint-Esprit se multipliera dans l'Amour de Dieu!
 
Pour que cela continue, il faudra bien sûr encore beaucoup de courage, de travail, de préparations, de dévouement, de prières et aussi de fonds. Au Seigneur, seul propriétaire et Chef du Centre chrétien de Gagnières, soient la gloire, l'honneur et la louange.

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