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Les trois Adams.

  

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*Q34 – D’où vient l’eau du Déluge?

1. Introduction

Pendant de nombreuses années (dans le cadre de mes messages concernant le thème Science-Foi, j’ai toujours évité le thème du déluge qui me paraissait incompréhensible sur divers points. J’aurais volontiers abandonné le problème, mais restais insatisfait, étant donné les références que Jésus et les Apôtres nous laissent dans le Nouveau Testament.

Naturellement, je me réfugiais aussi (pour me taire) sur le fait que la date étant parfaitement calculable, si on accepte totalement la date très précisée dans le texte (1), et si l’on croit (comme moi) à l’inspiration du Saint-Esprit dans TOUTE l’Ecriture sainte, il doit y avoir une explication scientifique contrôlable à ce « Grand Déluge d’eau » (2) « pour détruire toute chair ayant souffle de vie… » qu’annonça Dieu à Noé, selon une décision irrévocable qu’Il prit en Lui-même, en Genèse 6:7.

Or, même après de nombreuses recherches bibliographiques en diverses sciences, je n’ai pas trouvé trace d’un grand déluge universel qui correspondrait aux dates ci-dessus. La seule catastrophe « moderne » qui aurait pu être admissible, fut l’effondrement de la Mer Noire, qui dut provoquer un « déluge » local important et voisin de la région incriminée. Mais les quantités d’eau incriminées étaient bien trop faibles pour permettre d’imaginer une pareille montée des eaux. D’autre part, l’évacuation de l’eau indiquée par le texte biblique aurait été bien plus courte que le temps indiqué.

Je me rabattais donc (de guerre lasse) sur le fait bien scientifique que de nombreux déluges aient existé durant des millions d’années antérieures à l’homme, dont les souvenirs figurent historiquement dans de multiples traditions religieuses ou populaires, bien homologuées. En admettant alors, soit un déluge général particulièrement vaste parmi ceux-ci, ou partiel sur tout le Proche-Orient, on pouvait admettre l’immensité du phénomène, à condition qu’il ne se soit agi que d’un phénomène local de durée bien délimitée.

Mais, outre le fait qu’aucune date n’existe comportant UN déluge à cette époque en paléontologie, personne ne peut expliquer comment une si considérable quantité d’eau aurait pu recouvrir toute la Terre à cette époque.

C’était donc l’une des raisons principales de mon silence, quant aux commentaires des chapitres 6-8 de la Genèse, dans mes différents ouvrages. Ma foi quant à la vérité du texte biblique, rappelé par Jésus et les Apôtres, restait pourtant entière. Et, à chaque Revue ou découverte parlant du Grand Déluge de Noé, ou d’un quelconque déluge, mon attention fut constante pour mieux comprendre ce phénomène unique, qui se complètera (explique le Nouveau-Testament) par Grand Déluge, mais de feu. C'est celui qui achèvera cette Création, par le dernier Jugement de Dieu, à cause des circonstances analogues de dépravation générale, qui se multiplient déjà dans la présente Humanité.


2. D’où est venue l’eau sur la Terre?

Cette question, brusquement m’a frappé, en lisant dans une Revue actuelle sérieuse (3) un Entretien avec Bernard Marty, et pour en savoir plus : « L’Histoire de la Terre, Dossier No 25 novembre 2006-janvier 2007 » et enfin : M.Gargaud et al : « l’Environnement de la Terre primitive ». (4)

Il est certain qu’une caractéristique de la planète Terre est la quantité considérable d’eau qu’elle supporte, qui seule a permis l’extension de la vie, telle que nous la connaissons et admirons sans cesse. C’est un endroit quasi unique semble-t-il, mais pourtant elle a été formée par l’agglomération de poussières ; et pendant des millions d’années, il y faisait trop chaud pour que sa surface puisse conserver l’eau à l’état liquide (représentant actuellement un volume de 1,37 milliard de km3),

Bernard Marty nous précise dans cet Entretien intitulé: « Une pluie de météorites à l’origine des océans » (en page 10) que cette eau provient de la condensation de la vapeur d’eau qui constituait 90 % de l’atmosphère primitive, alors qu’elle n’en représente plus maintenant que 0,1-4 %. Des pluies diluviennes ont donc eu lieu très tôt sur notre planète, soit il y a 4,3-4,4 milliards d’années (si sa formation définitive date de 4,566 milliards d’années, comme on l’admet aujourd’hui). Mais la présence d’eau liquide sur la Terre, date au mieux, seulement de 200 millions d’années après le début de sa formation, pour que désormais la température à sa surface ait chuté suffisamment.

Il y avait donc déjà de l’eau à la surface de la Terre, mais pas de quoi remplir les océans comme aujourd’hui, vu la position de notre planète dans le système solaire. Il existe en effet une limite (la « limite de neige ») située entre 3-5 fois la distance de la Terre au Soleil, en deçà de laquelle la température du système solaire alors en formation, était trop élevée pour permettre à l’eau liquide ou solide, d’y subsister.

A noter qu’en 1951, le géologue William RUBEY a démontré que le dégazage complet de la croûte terrestre n’aurait pu fournir que quelques pourcents des océans actuels. Il faut donc chercher ailleurs, en dehors même de notre planète, pour savoir d’où nous est venue cette abondance d’eau sur la Terre. La majorité des éléments volatils (dont l’eau) aurait été apportée tardivement, alors que la Terre était déjà formée, par des corps célestes d’autres régions du système solaire. A cette époque, des météores de grande taille qui rencontraient la Terre, étaient nombreux et fréquents, et ils contenaient souvent beaucoup d’eau. Ce bombardement s’est poursuivi en décroissant graduellement entre 4,4 et 3,9 milliards d’années. (selon H. Wänke, de l’Université de Mayence, et M. Javoy, de l’Institut de physique du Globe, de Paris).

- Sait-on alors quel corps céleste a pu apporter cette eau sur la Terre ?

- On sait que les météorites de la ceinture d’astéroïdes, situés entre Mars et Jupiter sont les matériaux primitifs les plus fréquents à la base de la formation des planètes. Et certaines de ces « chondrites carbonées » peuvent renfermer jusqu’à 20 % d’eau ! Or la Terre est en réalité un astre très sec où l’eau ne représente que 0,025 % de sa masse. On constate qu’il suffirait de 0,3 % de la masse terrestre provenant de ces chondrites, pour que la masse des océans et du manteau aient reçu à cette époque, la quantité d’eau actuelle. C’est absolument dans les possibilités que cette provenance soit réelle. D’autres raisons (que je juge inutile de citer) existent, qui confirmeraient la probabilité de ce mécanisme.

Mais il existe aussi des raisons qui infirment la provenance de cette eau des chondrites carbonées. Il n’est pas exclu alors que d’autres astéroïdes que nous n’avons pas encore découverts, ou qui auraient disparu, en aient été les importateurs. L’eau existe aussi semble-t-il sur Mars et sur d’autres satellites des planètes du Soleil. Il faut se souvenir qu’il tombe sur la Terre environ 40 000 tonnes de micrométéorites et 10 tonnes de météorites par an… Mais ces satellites n’apportent quasi plus d’eau maintenant, donc la situation de l’eau ne change presque plus; et notre stock d’eau liquide reste ainsi bien supérieur au stock atmosphérique.


3. Des données nouvelles et leurs conséquences

Devant les faits et analyses ci-dessus, dûment constatés par les scientifiques, le texte biblique peut être repris lui aussi et analysé, pour nous éclairer plus objectivement, en ce qui concerne l’origine possible de l’eau du Déluge. Les textes de Genèse 6 et 7 vont nous documenter plus exactement. Mais d’abord, il faut examiner sommairement le problème de la date de ce déluge, qui ne saurait avoir eu lieu il y a des millions d’années, comme ces nombreux déluges expliqués par les milieux scientifiques (classés par eux à l’origine de la « légende du Déluge »). La Bible (par ses généalogies) nous permet de dater avec plus ou moins de précision les phénomènes qui suivent la naissance d’Adam, qui, à mon avis, peuvent fixer le début de l’Humanité spirituelle, au chapitre 2 de la Genèse. La tradition juive est précise à ce propos et situe le début du monde (je pense plutôt qu’il faut dire : à la création d’Adam et Eve) à -5770 ans, ce qui permet de dater par les généalogies, le déluge de Noé approximativement.

Il existe naturellement des difficultés quant à la datation exacte du Déluge de Noé, car nous utilisons actuellement le calendrier solaire (grégorien), tandis que les Israélites utilisaient le calendrier luni-solaire hébraïque dans la Bible. Les différences (avec les corrections à faire exactement) n’interviennent cependant que pour quelques dizaines d’années, mais peu sur des milliers d’années (ce qui nous concerne ici). On peut accepter par exemple qu’Abraham soit né vers 1925 ans avant J.-C., et que Isaac naquit lorsqu’il avait environ 100 ans, donc vers 1825 avt. J.-C. Quant aux débuts de l’Humanité, les Juifs comprennent une seule date pour l’origine de l’Univers et celle d’Adam, comptant (selon leur antique théologie) seulement 7 jours pour toute la Création. Nous sommes donc pour eux en l’an 5769-70…depuis Adam. A noter qu’il est simple de transformer les dates du calendrier lunaire juif en nos dates et vice-versa. Il suffit d’ajouter 3760 ans à l’année de notre calendrier grégorien pour retrouver la date du calendrier juif.

Or, voici que des découvertes archéologiques récentes qui concernent spécialement la MER NOIRE, nous permettent de penser qu’elles sont peut-être, elles aussi, en rapport avec le grand et dernier Déluge d'eau, celui de Noé. Les dates ci-dessus, souvent diversement modifiées, permettent maintenant cette version nouvelle des datations. Parmi les conséquences du Déluge, l’effondrement des Dardanelles par une grande masse d’eau, ayant alors rempli la Mer Noire (qui n’était qu’un lac d’eau douce, beaucoup plus petit). Dès lors, l’inondation aurait enseveli toute une civilisation demeurant sur les bords du lac, et à plusieurs reprises, dont on retrouve peu à peu les traces dans la Mer Noire actuelle, devenue plus ou moins salée, depuis sa jonction avec la Méditerranée.

De nombreuses données peuvent être retrouvées sur l’Internet, ce que j’ai fait méticuleusement. La question est tellement devenue d’actualité que 3 journées d’étude consacrées à l’archéologie et à l’histoire antique du bassin de la mer Noire sont prévues dans le cadre d’EDOCSA à l’Université de Lausanne ; soit, le 23 octobre 2009 : Autour du Royaume du Bosphore Cimmérien; le 6 novembre 2009; L’archéologie classique en Russie; le 20 novembre 2009 : Sites archéologiques du Bassin de la Mer Noire. (www.unil.ch/iasa-Formation).

Plusieurs raisons ont donc attiré mon attention vers la quantité de l’eau du Déluge. Un reproche fait au récit biblique est l’impossibilité pour n’importe quelle inondation normale, de remplir toute la surface de la Terre de suffisamment d’eau, en raison du volume que cela représente : « le déluge recouvrit tout, jusqu’aux plus hauts sommets », selon Genèse 7:19. C’est IMPOSSIBLE, prétend la science… mais pour Dieu, TOUT est possible… et cette destruction de TOUTE l’Humanité antédiluvienne fut arrêtée par Lui, et certainement des années avant (selon Genèse 6 :7) pour donner à Noé le temps de tout préparer en vue du sauvetage de sa famille, qui fut seule épargnée. Que ce fût la totalité de la Terre qui ait été submergée, est bien confirmé par des traditions de peuples très nombreux. Le souvenir du déluge se retrouve en effet dans diverses traditions populaires de peuples appartenant à des races les plus diverses : Palestine, Assyrie, Grèce, les deux Amériques, l’Australie, les Indes, la Chine, le Tibet, la Malaisie, la Lituanie, etc. Comment ne pas penser que toutes ces traditions aient leur origine dans un même cataclysme mondial relativement récent, et non pas, comme le dit la science, datant de millions d’années? (5)

Donc, la quantité d’eau nécessaire au Déluge fut considérable, et les trombes qui tombèrent sur l’Arche furent inouïes pendants 40 jours et 40 nuits. (6)

Il est précisé dans le texte que « l’an 600 de la vie de Noé, le 2e mois, le 17e jour, TOUTES les sources du "Grand Abîme" jaillirent, ET les ECLUSES des Cieux s’OUVRIRENT ». A Dieu n’est-il pas possible de les ouvrir; d’avoir prévu exactement la date, et d’avoir choisi ces « chondrites carbonées » quelque part entre nos autres planètes solaires, pour envoyer un DERNIER DELUGE d’eau. (un déluge de FEU étant réservé pour la Fin définitive du monde actuel, avec une soudaineté toute pareille.).

A l’appui de ma thèse, on peut aussi citer l’existence des 3 toiles étonnantes sur le Déluge, réalisées par le peintre britannique John Martin (1789- 1854), qui imagine dans l’une d’elles la situation « Le jour avant le Déluge », (peu avant la publication de l’« Origine des Espèces », de Darwin), en faisant intervenir une comète : il a dit : - « Mon déluge résulte de la conjonction du Soleil, de la Lune et d’une comète qui apporta l’eau sur la Terre; c’était aussi l’opinion de CUVIER, et ce tableau lui a beaucoup plu... ». (7) Une comète ou d’autres astres de passage à périodes irrégulières seraient donc parfaitement possibles, pour déverser en « 40 jours et 40 nuits » l’énorme quantité d’eau nécessaire jusqu’à recouvrir momentanément toutes les montagnes.

Enfin, l’élimination de toute cette eau en excès demandait naturellement beaucoup de temps, ce qui explique encore bien les données bibliques de Genèse 7 :24. « Les eaux furent grosses sur la Terre pendant 150 jours ».

On pourrait encore ajouter que des fouilles ont démontré le Déluge, au Proche-Orient particulièrement (voir celles de Leonard WOOLEY, à Ur en Mésopotamie, et d’autres à Kish. En creusant une tranchée profonde, il trouva successivement et soudain une couche d’argile parfaitement vierge, de plusieurs mètres d’épaisseur - qui remplaçait soudain le sable omniprésent. En creusant plus loin, on mit en évidence à nouveau la zone de sable, dans laquelle on découvrit alors une localité d’une autre civilisation, toute différente de la superficielle. La couche argileuse (qu’on trouve en diverses épaisseurs à beaucoup d’endroits) ne peut provenir logiquement que d’anciens dépôts boueux déposés rapidement – puisque vierges – au cours d’une inondation, dont la date a été estimée à 4000-5000 ans avt Jésus-Christ, correspondant assez bien à celle du Déluge de Noé. (8)

Il faut aussi rappeler qu’en 1955 – après bien des vaines tentatives – les alpinistes français Navarra et de Riquier seraient arrivés à ramener un morceau de poutre de chêne vieille de plus de 5000 ans, et que la présence des restes d’un navire sur l'Ararat avait été signalée à plusieurs reprises par des indigènes, notamment par des ouvriers turcs, ce qui me fait terminer ce chapitre par la boutade d’un scientifique : « Il est scientifiquement impossible que le niveau de la mer ait pu s’élever à 4500 mètres d’altitude. (voire plus !) Pourtant, on ne peut nier que les restes d’une construction en bois d’un navire reposent quelque part en haut d’un glacier de l’Ararat ! »


4. De ces compréhensions nouvelles, et de leurs conséquences

Bien sûr, cette question de la quantité d’eau apportée par le Déluge de Noé, ne résout pas d’autres questions concernant les mystères de cette histoire. Mais elle ouvre la porte pour résoudre certains points qu’on raconte comme une histoire amusante et fantastique, aux enfants des Ecoles du dimanche, dont nous fûmes au temps jadis…

Il reste bien des points de ce récit biblique à analyser scientifiquement. Ceci pourrait faire l’objet de quelques autres débats, pour concilier Science et Foi.

Continuant de croire que la Bible est la Parole de Dieu pour l’Humanité, je ne désespère pas de m’y lancer, si j’ai des données suffisantes comme celles que je vous ai indiquées ci-dessus.

La quantité d’eau résiduelle actuelle dans nos océans est estimée d’environ 1,37 milliards de km3. L’énorme précipitation d’eau du Déluge fut certainement une dernière cause d’un effondrement des Dardanelles et de la jonction définitive de la Méditerranée avec la Mer Noire (car il semble y en avoir eu à plusieurs reprises, selon diverses fouilles archéologiques).

Bien des conséquences historiques et archéologiques de cette énorme inondation, vont encore faire l’objet de découvertes capitales, soit en Turquie, soit en Bulgarie, en Roumanie, en Ukraine ou en Russie, par les chercheurs qui explorent actuellement le fond de la Mer Noire. Il est possible que ces fouilles sous-marines apportent de nouvelles données sur l’époque du Déluge de Noé, qui ravagea particulièrement tout le Proche-Orient, voire la Terre entière. Il nous faut donc rester attentif aux recherches en cours, qui peuvent devenir peu à peu des confirmations, même importantes, de certaines données bibliques. Le dossier reste ouvert !


*Bibliographie citée et notes : 

  (1) Genèse 7:11 Remonter
  (2) Genèse 6:17 Remonter
  (3) Voir les Dossiers de La Recherche No 36, Trimestriel août 2009 Remonter
  (4) Presses Universitaires de Bordeaux 2005 Remonter
  (5) Selon Werner Keller : La Bible arrachée aux sables, 1956, p. 28-41 ou W.H. Guiton : Introduction à la Bible Ed.1957, p.298 Remonter
  (6) Gen.7:11-12 Remonter
  (7) Cité dans « Pour la Science » No 379 de mai 2009 p. 95 ; cf. Thèse en cours en 2009, d’Alexis Drahos, à La Sorbonne. Paris Remonter
  (8) Documentation fournie sous « Déluge », par le « Nouveau Dictionnaire biblique, Ed. Emaüs, pp.178-179 Remonter
 

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