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Les trois Adams.

  

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*Q25 – Toutes les religions sont-elles équivalentes?

1. Introduction

La vie moderne a considérablement modifié les habitudes de vie de l'homme, et aussi ses comportements religieux, qui résultaient souvent d'une peur des événements incontrôlables provenant de la nature avec ses fantaisies. Mais du fait des inventions techniques et des découvertes scientifiques, peu à peu, l'homme se croit en passe d'arriver à une « libération » de ces forces qu'il domestique peu à peu. Vainqueur, il s'affranchit des divinités qu'il s'était créées, et il se pense Fort et capable de tout… sans elles. D'où (entre autres raisons) le désintérêt général apparent pour tout ce qui est religieux que nous constatons comme une évidence, particulièrement dans les pays chrétiens « évolués » de la vieille Europe. Voir le texte de mon « Résumé de livres ». (1)
 
D'autre part, quelques membres de notre Club Science-Foi ont reçu d'Anne PAVIOT un Mémoire de fin d'études (Promotion 2003), intitulé « La Déchristianisation en France : Opportunités et menaces », qui est très intéressant. (2) Ce mémoire étudie cette situation inquiétante pour un pays qui fut appelé autrefois la fille aînée de l'Église ! …« La France d'aujourd'hui apparaît plutôt comme une société démoralisée, fuyant les valeurs chrétiennes. L'idée de toute transcendance effraie, et le paradis chrétien qu'il faut mériter ne séduit plus nos concitoyens. Nous sommes dans l'ère du "je veux tout. Tout de suite, pour moi-même" … Le christianisme serait donc en voie d'extinction, et personne ne semble s'en alarmer. Cette religion qui a façonné nos modes de vie et nos paysages pendant deux mille ans, qui a accouché de l'idée de modernité et d'autonomie, fécondé des maîtres de la pensée et de l'art, serait donc condamnée, inéluctablement, au dépérissement »?
 
L'auteur s'attache à démontrer l'effondrement des vocations religieuses, de la pratique des cultes dominicaux, de la prédominance de la laïcité dans tous les domaines… Cependant par ailleurs, sa thèse constate aussi des signes d'un sincère renouveau spirituel : une nouvelle génération de laïcs engagés, des remises en question importantes dans les églises (particulièrement envers Israël à la suite de la Choa), le rôle positif des femmes, et le dialogue interdénominationnel en progression. La qualité des pratiquants remplace la quantité aléatoire de ceux d'autrefois… Ainsi, la question de Dieu est loin d'être enterrée et « paradoxalement, la France n'a jamais tant parlé de religion et été si peu…religieuse! »
 
Mais en d'autres régions diverses formes du christianisme sont en pleine expansion; et d'autre part, certaines religions, semblent plutôt au contraire prendre de l'extension, (comme le bouddhisme ou l'islam). Ces religions non chrétiennes influencent beaucoup notre jeunesse et la séduisent par leurs caractères absolus ou autoritaires, qui restent si nécessaires dans les débuts de la vie humaine, et que notre Occident ne sait plus leur donner. Mais…


2. Qu'est-ce qu'une religion?

  1. Le mot relier (d'où « religion » dérive) exprime très clairement le phénomène : c'est un système qui vise à relier, d'une part les hommes entre eux, d'autre part les hommes avec les divinités, ou les forces de la Nature divinisées. C'est une sorte d'organisation politique, qui ajoute aux simples partis, une relation avec les forces supérieures dont on n'a pas (encore) la maîtrise.
     

  2. Tout ce qui nous est encore inconnu dans l'Univers (c'est environ encore le 90 %, nous disent nos astronomes…) a provoqué chez de nombreux philosophes d'innombrables réflexions, plus ou moins théologiques, qui, par leur diversité même, témoignent de leur irréalisme. Ce ne sont souvent que l'expression de simples convictions personnelles ou collectives, qui sont modifiées constamment au gré de l'évolution de l'humanité.
     

  3. Une fois qu'une religion a pris pied dans une région, elle instaure des rites pour organiser la collectivité d'une part, rites qui doivent réjouir la (ou les) divinités toutes-puissantes. Ces rites – au début peu précis, ni impératifs – prennent ensuite des formes liturgiques rigides qui leur donnent une force démesurée, et une stabilité qui enlève toute chance à des modifications futures. Alors, dans l'impossibilité de les réaliser, des réformateurs sont obligés de casser leurs liens avec leur religion initiale, en se sectarisant d'elle plus ou moins violemment; mais leurs successeurs ne font pas mieux!
     

  4. Les religions sont aussi un moyen de se rassembler en vue d'une recherche commune, pour une plus ou moins large part de la population. C'est une occasion remarquable d'entre aide et d'amitiés ou de contacts, plus ou moins superficiels – voire artificiels –, mais assez puissants, et qui correspondent à un besoin social, vital pour tout être humain.
     

  5. Enfin, elles établissent une morale de base commune, qui permet l'établissement de systèmes de justices civiles adéquats, qui sont à la base de la vie du pays tout entier. Elles donnent ainsi à la vie des individus une sorte de solidité apparente, plus ou moins rigide, mais qui est souvent en conflit avec les forces de la vie qui les dépassent constamment, ce qui – vu de l'extérieur -– leur donne un aspect vétuste et passéiste désespérant.


3. Comment naît une religion et comment se maintient-elle?

Généralement, un prophète reçoit une révélation particulière, très puissante; son contact personnel avec le monde spirituel est flagrant, et se manifeste par des actes hors de la normalité qui convainquent son entourage.
 
Des disciples proches deviennent des adeptes convaincus qui répandent la vision autour d'eux dans la population. Plus ou moins facilement, il se crée un mouvement, souvent avec de fortes oppositions dans les débuts, puis, par la force ou par des conversions nombreuses, la religion prend forme et s'installe.
 
En chef de valeur, le fondateur semble faire mieux que ce qui était auparavant, du moins pour ceux qui le suivent. Comme réformateur il réorganise la façon de vivre de ses concitoyens. Ainsi surgissent des lois nouvelles qui semblent mieux répondre aux besoins généraux de la population, et qui fixent sa foi.
 
Enfin, en tant que berger, il devient la référence générale de ce qui est vrai et bon. Il est un poteau indicateur pour tous les adeptes, et, s'il est honnête, son action se développe solidement, parfois jusqu'aux extrémités de la Terre.
 
Après sa mort, des décalques lui succèdent certes, mais ils n'ont jamais le charisme du fondateur d'une part, et la situation générale ayant évolué d'autre part, cela pose de nouveaux problèmes aux disciples qui peinent à appliquer les lois initiales et en inventent (plus ou moins positivement) de nouvelles. La religion certes s'installe, mais se défigure aussi notablement.
 
Et finalement, il ne reste que la forme et des rites, plus ou moins respectés, Et dans la vie actuelle, de moins en moins acceptés…


4. Qu'en est-il de la religion chrétienne?

Grosso modo, elle a suivi le même chemin que les autres. Mais son promoteur n'est pas seulement un prophète. Cette fois-ci, c'est le Fils de Dieu Lui-même qui est venu donner La vraie Lumière au monde.(3) Et par cette Lumière, la vraie Vie est potentiellement donnée à tout homme par le Saint-Esprit, s'Il vient habiter le croyant. Recevoir sur Terre cette vie éternelle, par la foi en Lui, provoque chez le disciple de Jésus un apostolat aussi puissant que celui qui anime les fondateurs de religions, et qui le rend personnellement fidèle à Dieu jusqu'à la mort.
 
Jésus, le Fils unique de Dieu, est né Juif. Les Juifs ont été (dès Abraham déjà) les porteurs de la Révélation du Dieu Unique qui rassemble en Lui toutes les lois de notre Univers. La venue de Christ – à la Fin des Temps – a parachevé l'héritage spirituel apporté par Israël au monde. Et le message de Jésus n'a plus rien de commun avec celui des autres religions : il s'adresse à chaque personne, quelles que soient son origine, ses qualifications, son importance sociale, sa race, ou son sexe, pour lui proposer le Salut de ses péchés et un contact intime et constant avec Dieu, dont il nous révèle qu'Il est Amour.
 
Il est intéressant de constater, en lisant un ouvrage récent d'un chrétien devenu bouddhiste et revenu en fin de compte à l'Évangile,(4) que la Bible est parfaitement suffisante pour nous conduire pleinement à Dieu, et qu'elle peut nous permettre d'éviter de longs chemins de recherche spirituelle. On en a certainement une dans sa bibliothèque, et donc tout ce qu'il faut en Europe pour rencontrer et suivre Jésus !
 
Son message est d'abord avant tout INDIVIDUEL. Lui seul donne à l'homme une paix intérieure complète en harmonie avec Dieu et les autres, par l'Amour et non par le jugement, la morale ou le légalisme, ni par des exercices pieux compliqués. Cette paix, aucune épreuve ni aucune persécution ne peut l'enlever au croyant qui a fait une expérience personnelle avec son Sauveur. Il est donc capital (puisque toute personne peut la vivre) d'expérimenter ce que Dieu nous promet dans la Bible, et de devenir ainsi un Enfant de Dieu, né de nouveau.(5)
 
Quant à la vie collective, elle aussi est transformée par l'Amour pour le prochain qui devient la nouvelle nature du converti. Mais hélas, la religion chrétienne – comme les autres – a déformé assez rapidement le message de Jésus, en y adjoignant des multitudes de rites et de lois, qui sont autant d'oreillers de paresse pour ne plus faire l'expérience personnelle et journalière de la communion avec Dieu par le Saint-Esprit. Cette expérience de vie est beaucoup plus exigeante en fait que tous les ritualismes ou prières répétitives, elle s'incarne dans la vie journalière du croyant et comble tous ses besoins spirituels.


5. Une expérience de jeunesse

A titre d'exemple, voici une expérience que nous avons faites à la fin de la dernière Grande Guerre, concernant les religions diverses issues du christianisme. Un réveil spirituel en 1940 s'est produit en Suisse romande. Le Seigneur a saisi des jeunes qui, bien modestement se réunissaient dans une salle d'un collège de l'école primaire, à Prilly près de Lausanne. Or, il se trouvait que ces jeunes – de simples copains ou des connaissances diverses – faisaient partie de quelques 7 dénominations chrétiennes différentes, qui étaient sans contacts les unes avec les autres à cette époque… Mais ils découvraient que leur unité dans l'Amour de Jésus dépassait les frontières rigides des religions! Mais d'autre part nous apprenions que chaque système chrétien institué faisait tous ses efforts pour ramener à lui cette jeunesse triomphante et déterminée dans sa foi… Prosélytisme vain, heureusement! Le mouvement DSA (Défense Spirituelle Active) comme nous l'appelions (genre DCA, DAP, etc., etc. des initiales de noms fréquents pendant la guerre) s'étendait comme une traînée de poudre à travers toute la Suisse romande, formant des groupes très divers, mais vivants et tous interdénominationnels, et hors des systèmes religieux, bien que chacun restait cependant membre de son Église génératrice, et y participait.
 
Mais l'on n'est pas jeune très longtemps… Après 3-4 ans, on se mariait, on quittait la localité, bref! La vie nous emmenait ailleurs… (Mais, il faut bien le dire, même après plus de 50 ans, cette Unité extraordinaire subsiste encore entre nous, et la joie pure de nos retrouvailles rejoint celle de nos 20 ans, lorsque parfois nous nous retrouvons à quelques-uns, et cet amour est sans défaillance pour tous ceux qui ont gardé notre vision primitive).
 
Mais que fallait-il donc faire de notre DSA? Nous étions aussi inquiets, car bien des jeunes ne venaient plus AU SEIGNEUR, mais à LA DSA! Une nouvelle religion naissait-elle? Encore une division « plus parfaite » était-elle en train de surgir… Nous avions fait là une fameuse « École de recrue » du Seigneur, et appris tant de choses spirituelles que nous n'aurions jamais pu réaliser dans nos religions respectives. Il nous semblait impossible d'y renoncer…
 
Que faire donc, Seigneur? Et voici que nous reçûmes une vision. Notre emblème – notre drapeau aussi – consistait en une croix portant les 3 lettres D, S et A. La vision nous montrait une autre signification : non plus Défense Spirituelle Active, mais TOUTES les Dénominations sont Abolies sur la Croix. Alors, la décision solennelle fut prise, lors d'une certaine rencontre mémorable : On a dissout la DSA! Pour qu'elle ne devienne pas une nouvelle organisation religieuse. Beaucoup en ont certes souffert, mais le Seigneur a conduit tous ses fidèles vers de nombreux ministères, hors ou dans les Églises. Et le terrain était tout préparé pour le nouveau chemin que le Saint-Esprit nous montrait : créer des cellules de maisons partout dans le monde, qui seraient libres de recevoir quiconque, sans tenir compte de sa religion de naissance.
 
Ainsi, nous enfantions, en mourant, une nouvelle vision de la religion dépassant les dénominations traditionnelles, sans les combattre ni les remplacer…


6. La religion ou la Vie?
 
Il est clair que toutes les religions sont en conflit avec l'évolution rapide de la vie. Elles ne font que suivre avec beaucoup de retard les connaissances scientifiques par exemple. Elles désapprouvent (comme les partis politiques aussi du reste) tout ce qui choque leur ritualisme institué… Et l'on n'en finit pas de créer de nouvelles directives, rites, jours spéciaux, mémoriaux, etc., etc., qui n'impliquent souvent pas d'abord la vie spirituelle et le contact béni avec Dieu. Bien plus, elles maintiennent ainsi des conflits archaïques entre elles, qui les empêchent d'arriver à un oecuménisme satisfaisant.
 
Alors, que faire? A notre tour, et mondialement, nous nous trouvons devant ce paradoxe : des religions qui vivotent en se fixant dans des rites, et des gens qui s'y intéressent de moins en moins, ou qui maintiennent pour la façade de vieilles ruines solennelles… Et pourtant le Fils de Dieu Lui-même est venu pour nous sauver personnellement d'une part, et collectivement d'autre part! Mais les hommes ne veulent pas venir à Lui pour avoir la Vie!
 
Car ce qui nous importe finalement ce ne sont pas tant les systèmes, ni les méthodes, ni les religions, mais c'est d'avoir la Vie éternelle, celle de Dieu Lui-même, celle de Jésus, promise à tous ceux qui Le suivront sincèrement. Y a-t-il d'autres solutions meilleures? On a fait le tour de toutes les philosophies imaginables, de tous les systèmes liturgiques, de tous les efforts humains, en religion ou en politique… Et la situation du monde ne s'améliore pas, les conflits sont constants et de plus en plus destructeurs et généralisés, jusque dans les couples qui perdent la vraie communion.
 
Pourtant, ceux qui vivent sur le chemin de Jésus, en toute simplicité, gardent une espérance indéfectible, car Il est LE CHEMIN, LA VÉRITÉ et LA VIE. C'est à Lui que nous devons venir, Il est notre Sauveur! (6) La solution est bien là. Tant personnellement que collectivement : suivre Jésus seul.
 
Et voici que des rencontres de maisons, cellules de prière ou de partage avec la Bible, sont constamment créées dans tous les pays du monde, depuis une cinquantaine d'années. Personne ne peut empêcher de se retrouver à quelques-uns (les 12 de Jésus pourquoi pas…) dans une maison ouverte, que ce soit en Chine ou en Islamie! Et une espérance nouvelle remplit ceux qui se réunissent ainsi, et donne des ailes à ceux qui ont enfin trouvé un centre d'amour et de partage avec Dieu. De plus, rien d'institutionnel, tous unis autour de Jésus,(7) réunis en Son Nom, nous découvrons la vraie communion humaine, partageant nos problèmes en pleine actualité. C'est humble et sans apparat, mais quelle puissance de vie dans ces partages spirituels vrais!
 
De plus, ces cellules naissent, vivent et meurent, comme tout ce qui est de cette Création, sans risque de destruction de la foi pour toute la Société, ce qui hélas est le cas avec des religions généralisées. Notre première cellule a plus de 50 ans, et en a généré plusieurs. Elle mourra bientôt comme nous…mais d'autres apparaissent constamment et partout dans le monde, suscitées par le Saint-Esprit, au gré des circonstances, des persécutions ou des besoins des chrétiens .
 
Et qu'est-ce qui vous empêche de créer aussi une cellule d'amis de Jésus chez vous?(8)


7. Conclusion

Les religions, pas plus que les partis politiques, n'ont su donné aux hommes une solution qui les relie vraiment à Dieu et entre eux. Seule une vraie communion, de fait et non de rite, peut apporter à notre vie de réelles possibilités de partage et de salut.
 
La communion – l'union avec – c'est l'union spirituelle bien sûr :

  1. verticale, avec Notre Père, et avec Jésus par le Saint-Esprit d'Amour
     

  2. horizontale avec nos Frères et Sœurs en la même foi, par le même Esprit d'Amour, selon ce qui est clairement promis par Jésus Lui-même : « Ne crains pas petit troupeau, car votre Père a trouvé bon de vous donner le Royaume », (9) et ce que confirme l'Épître aux Hébreux(10)  : « Ne cessez pas de vous réunir les uns avec les autres… mais exhortez-vous réciproquement… », un texte qui a été souvent utilisé abusivement par bien des religions chrétiennes à leur profit…

Il ne s'agit pas de constructions humaines pour maintenir par une religion « pure » qui exigerait des structures rigides, qui ne sont plus finalement que des squelettes ayant perdu l'essentiel, soit la Vie. Il s'agit du Royaume de Dieu, invisible et pourtant parfaitement réel, où l'on vit humblement et fraternellement, sans dominations quelconques, les uns avec les autres, dans l'Amour de Jésus. Et n'est-ce pas la méthode même du Seigneur qui en a choisi 12 comme ses tout proches? Et cette simple méthode a conquis le plus grand Empire du monde d'alors, l'Empire Romain! Si nous sommes conduits par la Bible, et particulièrement par les Évangiles et les Épîtres, lus personnellement et ensemble, et vivant dans une prière sincère en communion avec Dieu, il n'y a ni déviationnisme, ni errements durables possibles, les uns et les autres acceptant la simple autorité de la Parole de Dieu.
 
Du reste, quoi de plus extraordinaire que le fait de se rencontrer avec un Frère ou une Sœur inconnu, d'un peuple différent, et, en quelques minutes, de constater cette communion extraordinaire propre au seul Royaume de Dieu? Comme le traduit une certaine version de la Bible : « Ne cessez pas de vous rassembler avec les "vous-même", (10) ceux qui ont le sang (la vie même) de Christ en eux. »


*Bibliographie citée et notes : 

  (1) Divers Auteurs : « La Déchristianisation de l'Europe », Éd. « Documents Expériences » 2001. Résumé imprimable en continu sur mon site.  Remonter
  (2) Anne PAVIOT : « La déchristianisation en France : Opportunités et Menaces » Mémoire de fin d'études – EUROMED, Marseille École de Management (promotion 2003). Le texte intégral peut être obtenu chez l'auteur, à l'adresse e-mail : annepaviot@hotmail.com Remonter
  (3) Évangile de Jean, chapitre 1, versets 1-5. Remonter
  (4) A. DESJARDINS et V. LOISELEUR : « En relisant les Évangiles », Éd. Le Grand Livre du Mois, nov. 1999.
Repris des Éd. de « La Table Ronde » (1990). Remonter
  (5) Évangile de Jean, chapitre 3, versets 3-21.  Remonter
  (6) Évangile de Jean chapitre 14, verset 6. Remonter
  (7) Évangile de Matthieu 18, versets 19-20. Remonter
  (8) On peut s'abonner au « Lien des cellules de prière », petit journal trimestriel, C.P. 333, CH 2022, BEVAIX, qui tire à environ 40 000 ex.
D'autres renseignements sur mon site à /cellules/index.html  Remonter
  (9) Évangile de Luc, chapitre 12, verset 32. Remonter
(10) Épître aux Hébreux, chapitre 10, verset 25. Remonter

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